lundi 27 octobre 2014

SOUL OF CHOGOKIN GX-66 TRYDER G7 - BANDAI



Commandé dans le cadre de mon année de robots, je ne m'attendais pas à grand-chose avec ce Tryder G7, très connu en Italie contrairement à chez nous. Il semblait très basique, mais je n'avais pas prévu ses transformations et surtout ses gros accessoires. Alors que Daitarn 3 ne vaut quelque chose pour moi que sous sa forme robot, Tryder, lui, prend tout son sel une fois transformé. Review.


Presque banal.

24,5 cm.

Le genre d'ailes qui ne prend pas de place dans la vitrine...

761 grammes. Il est plutôt massif pour sa taille et sa forme. Le die-cast est assez présent chez lui, surtout au niveau des jambes.

Un ami de Phoenix?...

Bonne assise, même s'il peut basculer en avant à cause des larges articulations des chevilles, transformations obligent.

Espèce de coléoptère!

On sent de suite la grosse articulation dans les jambes, et vous aurez raison.

Tronche à la Voltron, reprise de nombreuse fois.

Son meilleur profil.

Les doigts des mains d'origine sont articulés.

Lors de la review de Daitarn, je vous avais parlé de la galère qu'était de ressortir les mains une fois enfoncées dans les avant-bras. Avec Tryder, Bandai a conçu un système très simple et bien pratique.

Un clapet s'ouvre dans le bras.

Poussez la main, elle apparaît.

Un petit levier en plastique est livré.

Il vous permettra de repousser facilement la main si elle reste coincée dans son logement. Pas besoin de se prendre le chou avec une mini pince ou autre cette fois-ci. C'est bien pratique.

Bon, Tryder est loin d'être hémiplégique.

Les articulations sont résistantes et font des "clic clic" comme j'aime.

Pas de poils sous les bras...

Vous ferez le bruitage de ses pas avec votre bouche...

Le plastron se relève, montrant un canon-réacteur-hublot de machine à laver, comme vous voulez.

Ses armes et accessoires.

Commençons par ses mains de rechange. C'est un système de changement bien connu de Bandai, on repousse les mains d'origine, on fixe un cabochon par-dessus et on fixe les mains à part dessus.

Ici, les mains kung-fu, mais elles sont surtout utiles pour l'une des transformations, on verra ça plus bas.

Mains ouvertes. Les trous dans les paumes ne prouvent pas sa crucifixion mais simplement que l'on peut y fixer dessus des armes.

Les Tryder Cutters, avec leurs fixations.

Ça rappelle les yoyos de Combattler pas vrai?

Des sortes de Planitronks manuels quoi...

Autre arme, le Tryder Javelin.

Une fois assemblé et ouvert, on a un bel hallebardier...

Deux têtes sont livrées dans la boîte au fait, une avec le bec fermé, et cette tête se transforme, on verra ça plus tard, et une autre avec le bec ouvert. Cette dernière ne se transforme pas.

Les trognes se remplacent si ça vous chante.

Cela permet de varier les poses.

Le flingue, le Tryder Beam Canon.

S'utilise avec les mains d'origine.

Peau de lapin!

Tryder peut se la jouer cow boy à l'aide de deux pitons comme celui-ci.

Ils se fixent sur les hanches.

Ne reste plus qu'à y accrocher le flingue.

Le monde se divise en deux catégories, ceux qui font des blogs et ceux qui y vont.

Vous pouvez y fixer aussi les Tryder Cutters. Là, les deux pitons sont utiles.

A noter que les Cutters peuvent se joindre ainsi également.

On passe à la canne à pêche...

Une fois montée, faut de la place...

Fixez au bout soit l'hameçon...

...soit l'un des Cutters. Autant être honnête, c'est vraiment naze comme résultat.

Vous pouvez retirer le fil et mettre directement l'embout que vous voulez dessus.

C'est moins ridicule comme ça.

A noter que le moulinet fonctionne vraiment, et là aussi, c'est "tic tic tic" en le faisant tourner.

Un classique de ces robots japonais, les épées.

Les Tryder Sabers.

Le roi du sushi.

Le manche est amovible.

Ouvrez le compartiment des jambes du robot...

...repliez les bords du manche...

...insérez...

...rangés.

Encore un autre classique, le fléau d'arme.

Le Tryder Chain. Les lames des poids s'écartent.

Passons à la tête transformable. C'est pas un cadeau de la manipuler, elle est assez coriace et mal foutue.

Commencez par basculer l'arrière. C'est la manoeuvre la plus chiante à faire. Ça résiste et ça ne veut pas. Alors maîtrise et contrôle.

Déployez-la en grand.

Retournez et avancez la vitre bleue en la clipsant.

Etendez la tête et repliez les ailes sur les côtés.

Retournez et sortez les roues.

C'est prêt, voici le Hawk, une sorte d'avion.

Mini réacteur.

Ce Hawk peut se transformer en un second appareil. Retournez-le, dépliez les ailes et repliez ses cornes avant sous le vaisseau.

Sortez les mini trains d'atterrissage qui sont situés sur les ailes.

Déployez-les et repliez les ailes.

C'est le Marin, un hydro-glisseur.

Avant d'attaquer les transformations, un léger coup d'oeil sur le présentoir.

On ne peut malheureusement pas poser le robot dessus.

Bandai a sorti un display spécial pour Tryder et Daitarn, voir ici.

Je regrette beaucoup de ne plus avoir assez de place pour exposer les présentoirs et autres râteliers d'armes de mes SOC.

Il y a un compartiment qui s'ouvre.

Vous pourrez y mettre les cabochons et autres pitons.

Bon, au tour des accessoires. Dans la boîte est fournie, en plus du robot, une énorme navette.

La Tryder Shuttle.

371 grammes à vide. Vous allez comprendre le sens du mot "à vide".

21 cm de long.

Elle rappelle un peu la navette de Daltanious.

Dessous.

Les côtés s'ouvrent à l'aide d'un mécanisme très chiadé, les articulations s'avancent et se reculent.

Le devant aussi, la porte bascule grâce à un ressort.

Une sorte de ponton se déploie, on verra ça ensuite, c'est utile pour la transformation.

Sur le dessus, une antenne parabolique pour recevoir Pink TV...

Les patins à débloquer.

Cosmos 1999?

Enfin, le fin du fin, vous ouvrez le coffre arrière et un méga tank vous accueille!

Sortez les rampes d'accès.

Votre tank peut se risquer dehors.

Un gros compartiment pour un gros engin, le genre de truc que j'adore!

13 cm de long.

Les roues et chenilles sont fonctionnelles évidemment.

149 grammes.

L'avant, c'est le truc rouge.

Dessous.

Dessus.

Parés de ces informations, nous pouvons donc nous attaquer aux différentes transformations. Prenez votre robot les enfants.

Soulevez-lui son plastron.

Tirez sur les épaules afin de séparer les deux moitiés du torse.

Passez les bras vers l'avant.

De dos, ça doit ressembler à ça.

Clipsez les deux parties.

De face, vous avez ce résultat.

Remontez les bras.

Poussez les mains dans les avant-bras.

Refermez avec les cabochons en forme de grille.

Allongez les pieds.

Ecartez ses jambes.

Remontez le bassin jusqu'à ce que les picots s'encastrent dans les logements prévus à cet effet.

Refermez les jambes et jointez les pieds.

Ajoutez le reposoir en haut et sortez les trains d'atterrissage.

C'est terminé, voici le Cosmic, c'est le nom de cette navette.

C'est plutôt pas mal.

Et tout à fait présentable.

Transformation suivante, ou plutôt "variation sur le même thème". Préparez la shuttle.

Virez le plastron.

Mettez-le dans le logement de l'antenne parabolique.

Tournez les picots au-dessus puis sortez le ponton.

Entrez la tête du robot là-dedans et clipsez son dos sur le picot du ponton et sa façade sur ceux du haut.

Et voilà!

La Tryder Fortress!

42 cm de long!

C'est de toute beauté et cela rappelle un peu la navette d'Ulysse 31.

Autre transformation. Sortez le robot de sa navette, débarrassez-le de sa tête, du reposoir et écartez ses jambes.

Tirez sur les jambes pour bien faire sortir les articulations, c'est important.

Mettez-lui les jambes derrière les oreilles.

Le truc devient plus compact.

Les jambes sont dessous.

Prenez le Hawk.

Sortez le piton pour le fixer.

Et voilà.

J'aime moins cette navette, qui s'appelle Eagle.

Remettez le présentoir puis sortez le train d'atterrissage du haut...

...et ceux du bas. Je précise que ce train n'est pas le même que celui vu plus haut. Il en a deux de chaque côté.

Y'a plus qu'à faire confiance à la gravité.

Mouais...

Enfin, dernière transformation, celle en tank. Faites asseoir votre robot sur le cul, relevez son torse, sortez les ailerons oranges des pieds.

Changez les mains et mettez celles pour le kung fu.

On devine les canons.

Prenez le tank, écartez les jambes du robot.

Fixez le tank grâce à son plot dans les logements situés entre les jambes et refermez-les. Ça tient parfaitement.

Voici le Beagle!

Une incarnation qui a de la gueule!

Les ailes doivent être pliées ainsi.

A Stalingrad, il aurait été d'un grand secours...

A noter que l'axe du tank pivote à volonté, le robot peut donc cracher sa purée à 360°.

A l'arrivée. Une très grosse boîte.

Verso.

Ouverture.

La taille de la navette m'a impressionné.

Accessoires.

Coup d'oeil rapide...

...avant de revenir vers la navette!

Lève-toi et marche.

Déballage.

La notice. Ça sent la série pour gamins. Les personnages humains sont tous des boulets clichés. Pas de personnages sérieux.

M'a pris la tête celle-là...

Mmmhhh...

Ça fait du bien de s'étirer!

Maintenant, il peut voler.

La fameuse bonne idée.

Pratique la table portative pour bouffer...

La navette était pleine de petites feuilles de plastique pour la protéger.

La preuve.

Ce tank dans le cul de la navette, quel panard!

Montage du présentoir. Tryder G7 est une très belle surprise pour moi, un SOC qui en a sous le capot. Si les robots vous laissent un peu de glace mais que vous aimez les vaisseaux, il est fait pour vous.

2 commentaires:

  1. Superbe pièce et très belle chronique.

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  2. Tourjours un super blog et de splendide review, pour cette dernière elle m'a rappelé un souvenir d'enfance, à savoir que j'ai eu ce robot étant gamin, il était en plastique bleu et blanc (surêment un bootleg) il y avait également la possibilité d'en faire un vaisseau , même le petit vaisseau avec la tête et le mode char, bon les chenilles étaient en plastique moulé mais il pouvait lancer des missiles via ses pieds eh eh il doit d'ailleurs encore se trouver dans le grenier chez mes parents, merci de ce moment de nostagie.

    Padawan

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