MAZINGER Z SOUL OF CHOGOKIN DX 01 - BANDAI

Lors de l'annonce officielle de la prochaine sortie de cette pièce l'an dernier, je pense que tous les fans de Soul Of Chogôkin, et en particulier ceux de Mazinger, se sont posés la question de son achat. On en a parlé à l'époque dans les comms ici et ici. Tout était fait pour remarquez. C'est une première pour Bandai que de sortir un monstre pareil. "DX" veut dire "deluxe" et là, on est en plein dedans. Songez, un Mazinger de 30 cm de haut, comportant pas mal de die-cast, avec des fonctions sonores et lumineuses, et son hangar éclairé. Il y a de quoi faire mouiller bien des slips, devant et derrière! Seule la barrière du prix pouvait empêcher de se ruer dessus.

Honnêtement, je n'ai pas du tout bandé lorsque je l'ai vu débarquer. C'était une belle pièce, certes, mais je ne suis pas accro à Mazinger à ce point-là. De plus, le prix m'arrêtait net. Je préférais utiliser mon crédit pour quelque chose que je désirais vraiment. Mais il y a eu du changement depuis la fin de l'année et ces histoires de crédit sont révolues. Maintenant, il n'y a plus de limites et je choisis ce que je veux sans me poser de questions. Alors, j'ai pris Mazinger Z DX et puis voilà.

32 cm de haut.

1085 grammes une fois revêtu de ses parties die-cast. On revient dessus plus bas.

Dans le dos, le haut-parleur.

Une silhouette imposante.

Pour cette première série de photos, je lui ai mis son Breast Fire irisé. On changera plus tard comme vous le verrez.

On devine de suite ce qui est en métal et ce qui ne l'est pas.

Ces jambes sont un chef-d'oeuvre.

Peut-être un peu trop de trous, une simple grille aurait fait l'affaire.

Un clapet dans les reins pour mieux le faire tenir dans le hangar comme nous le verrons mais également, pour préparer à de futurs accessoires. Ça aussi, on le verra. Sont malins chez Bandai...

On sent de suite le côté articulé.

Place au spectacle!

BREAST FIRE !

Pour ceux qui n'auraient pas suivi ces derniers jours, je remets la vidéo du Breast Fire en direct live.

ROCKET PUNCH !

Les poings ne s'éjectent pas.

Une paire de mains avec tous les doigts entièrement articulés est livrée.

Elles se changent facilement par un cabochon tout bête.

DTC ! (Dans Ton Chogôkin)

Elles ne servent pas à grand-chose il faut bien le dire.

Le Hover Pilder se détache, évidemment. On revient dessus après.

Dans mes bras!

En mettant l'avant-bras à charnière, vous pouvez rejouer le Drill Missile. Cet avant-bras à charnière sauve ce Mazinger d'un fail absolu de la part de Bandai. On voit ça plus bas.

Le Hover Pilder.

Le cockpit ne s'enlève pas.

Ce truc me fait penser à un vélo...

Les aéroglisseurs servant d'ailes se replient.

Comme ça.

Bon, on va changer son Breat Fire irisé par celui classique. Les fixations sont magnétiques et ça, c'est cool.

Voyez, de petites plaques métalliques sont derrière chaque partie.

Le Mazinger tel qu'on le connaît tous.

Chouette photo!

Détail de l'articulation du bras. Bien fichu mais le problème vient de la fixation noire sur l'avant-bras argenté. A suivre.

Les chevilles suivent le mouvement des jambes, du très bon travail là.

PCHOUM! PCHOUM! PCHOUM! PCHOUM! PCHOUM! PCHOUM! Vous aurez droit au bruit de ses pas en live, ne vous inquiétez pas.

Sur la défensive.

Il pourra décoller oui.

Quelques photos bonus. Tous mes Mazinger "classiques", je n'ai pas mis le GX-47 du fait de sa couleur rouge. Donc, ici, de gauche à droite, celui que je vous chronique sur cette page, puis le West Kenji, le GX-49 et enfin le Super Robot Chogôkin Mazinger Z. Devant, notre bon ami Kôji "Alcor" Kabuto et sa tenue sexy...

En compagnie de Daioja, qui était mon plus grand Soul Of Chogôkin pourtant.

Enfin, une photo avec notre dieu à tous, Goldorak, dans sa version Marmit classique qui est un petit chef-d'oeuvre.

Passons à sa version "écorchée" comme je l'appelle, c'est-à-dire sans ses parties métalliques.

On est clairement dans un trip d'électronique ringarde que j'affectionne tant.

Ça me rappelle les jambes de Steve Austin.

Ou ce mannequin que j'eus au début des années 80.

Le gros missile de la mort pointe bien.

Voyez les jointures des bras. Là, il n'y a pas la fixation à charnière, donc, ça ne tient pas ou si peu.

Ces jambes mécaniques sont sublimes.

Notez qu'il n'y a qu'un côté "écorché", le dos reste "couvert".

Dichotomie.

Le dos est en métal, le reste en plastique.

Thérèse : - Mais enfin Pierre, qu'avez-vous fait de votre beau manteau?
Pierre : - Mais je sais bien Thérèse mais c'est Noël, je l'ai partagé avec un malheureux...

Les moins bigleux auront remarqué un "gros bête bouton rouge" en façade. C'est le bloc-moteur de votre Mazinger. En appuyant dessus, vous le mettez en marche et un bruit de machine se fait entendre:



Cela indique que vous pouvez activer les fonctions sonores et lumineuses avec la télécommande. On revient dessus plus bas. Notez que si vous n'activez pas ces fonctions dans les trois minutes, le bloc-moteur se coupe tout seul, pour économiser les piles. Il vous faudrait le réactiver.

On retrouve beaucoup de petites "boules" dans ce robot, sans doute des réservoirs d'énergie.

Terminator et sa main mécanique n'était qu'un pédé...

Je ne me lasse pas de ces jambes.

Ça rappelle un peu l'ordinateur de l'Atlantis.

Ceux qui ont lu Mazinger en manga se souviennent sans doute des robots explosant dans un déluge d'engrenages, d'huile et de boulons géants.

Chiadé!

Mais non je ne me touche pas sur ces jambes...

Si un savant fou cherche un cobaye pour devenir un homme-machine, je suis là!

Les machins jaunes doivent être des trucs solaires.

Mazinger mesure 16 m de haut.

Pas de blague hein...

Les fameuses articulations des bras, avec un concept d'attache à la limite du ridicule. Bandai s'est complètement planté là. Et ils le savent! Vous allez voir.

Je m'aperçois d'un truc là, c'est que j'ai oublié de peser le Mazinger en version "écorché". Vous me pardonnerez. Sans ses parties die-cast, il est bien plus léger, on ne doit même pas dépasser les 500 grammes je pense.

Ça rappelle le poster de Goldorak dans Télé-Guide.

Après les jambes, la tête...

Crédible...

Il fait frisquet...

Pour relancer l'économie japonaise moribonde, je ne vois que ça: construire des robots géants!...

Après plusieurs tentatives de vous montrer les yeux s'allumant dans cette version, j'ai fini par laisser tomber. On ne voit pas grand-chose et mon APN est limité sur ce genre de coup.

Ablation du visage.

Une diode. Ça rappelle beaucoup le Captain Laser de Big Jim sur le concept.

 
Je remets la vidéo où la tête s'éclaire.

Le bloc-moteur se retire.

Face avant.

De côté. Ce truc a beau être le coeur du robot, c'est plutôt le cerveau car c'est lui qui déclenche les fonctions sonores et lumineuses à l'aide de la télécommande fournie.

La voici. Les boutons évoquent des écrans de télé d'autrefois, pas mal! Tout comme la télécommande d'Andromeda, ces six boutons se combinent entre eux pour donner en tout 12 sons différents; 13 si on inclut celui de démarrage entendu plus haut lorsqu'on active le bloc-moteur. Voici ces sons. On commence par les phrases les plus fameuses d'Alcor, les noms des armes et leurs bruitages respectifs. Au menu: "Mazin-Go! Pilder On!", "koredemo kurae" (prends ça!), "koitsu todomeda" (et voilà le coup de grâce!), "Rocket Punch", "Koushiryoku Beam", "Breast Fire", "Rust Hurricane", "Drill Missile", et enfin, les bruits de pas si caractéristiques de Mazinger quand il marche:



Et en plus de tout ça, vous avez droit à trois instrumentaux de la série dont les fameux génériques désormais cultes:

Habillons notre robot avant qu'il ne prenne froid. Toutes les pièces sur le côté gauche sont en die-cast et elles pèsent, croyez moi! Sur le côté droit, celles en noires le sont aussi. Le reste est en plastique.

D'abord, on lui met son demi-visage et son demi-cou.

Les fixations se font sans problème.

Son demi-slip, sa demi-ceinture Gibaud puis son demi-avant-bras.

Un dernier regard sur la mécanique avant recouvrement...

Le haut de jambe et la "chaussure"...

... et enfin, la jambe. Cette partie en die-cast est la plus lourde mais aussi la plus belle à mon sens. L'encastrer dessus est un rêve. Clic-clac, merci Goldorak!

On met l'épaule d'abord puis le demi-plaston ensuite.

Rajoutez un aileron de Breast Fire à votre goût et voilà votre Mazinger à demi-habillé. Perso, c'est comme ça qu'il est dans la vitrine.

Un judicieux mélange de chromes, de mécanique et d'électronique.

Evidemment, ça rend bien mieux dans le hangar. On y arrive.

Bien sûr, vous pouvez habiller la partie droite et laisser la gauche nue si ça vous chante. Les deux côtés ont leur demi-parties. Vous avez le choix.

Vidange, tous les 10 000 années-lumière...

Passons au hangar. 38 cm de haut pour un poids de 2,4 kg sans le robot. Le plastique utilisé est TRES sensible aux traces de doigts comme vous pouvez le voir. J'aurais dû mettre mes gants pour le manipuler car, chaque trace fait penser qu'on a tripoté une obèse juste avant...

L'un des côtés, avec les charnières pour l'ouvrir.

Verso, avec son bouton façon "cafetière" pour les spots.

L'autre coté.

Open.

Les deux battants intérieurs servent à ranger les parties amovibles du robot, on verra ça après.

Chaque porte a son trépied pour soulager les gonds.

Ils se replient pour fermer les portes évidemment.

Les deux spots à l'avant.

L'échafaudage s'ouvre pour accueillir Mazinger.

L'une des deux grues à installer sur l'une des barres. Elle coulisse dessus pour lui trouver la pose que vous souhaitez. Son bras aussi est articulé.

L'autre grue, sous forme de camion elle.

Même chose, bras amovible et articulé. Le camion roule également.

Matchbox présente...

On a vu plus haut que le corset permettait d'accueillir quelque chose. Ici, c'est une barre de fixation qui s'installe comme ceci...

...et qui se clipse dans le fond du hangar. La stabilité du robot est maximale, bien qu'il tienne parfaitement debout même sans ça. Cette photo le montre "écorché" et avec ses "fringues" disposées sur les battants du hangar. Notez qu'il n'y a pas de la place pour tout. Pour les "chaussures" par exemple, il n'y a rien de prévu, plutôt curieux.

Ça fait son effet.

Dressing room...

Ça s'emboîte tout seul.

En réparation.

Le garagiste a du boulot...

Quand est-ce que les Japonais construisent la même chose?

Ce Mazinger est fait pour être dans son hangar finalement.

Il a un boxer...

Photos faites uniquement à la lumière des spots.

Ça fait très "navette spatiale" dans la nuit.

Prends garde Chine!

D'autres photos mais avec le côté gauche "habillé".

Comme à la douane, il faut attendre que la barrière s'ouvre pour passer...

Ah ces traces de doigts...

Il est comme ça dans ma vitrine.

Je l'avais mis dans le compartiment supérieur de ma vitrine au début mais le hangar est trop grand et colle au "plafond" de bois de la vitrine, ça presse sur le support en verre, j'ai eu peur que ça ne fasse trop de poids et casse un jour ou l'autre. Et si ça casse en haut, tout ce qu'il a en bas va morfler. Alors, je l'ai mis tout en bas et il y est finalement très bien. En plus, c'est plus facile d'accès pour allumer les loupiotes. Ça me fait mes illuminations... C'est comme une bougie finalement, quand on a un jouet qui clignote, on n'est jamais seul.

Certains ont regretté que la grue n'ait pas un vrai câble. Là, c'est juste un fil de plastique. Détail.

On dirait Double-Face dans Batman...

Enfin, des photos une fois entièrement monté.

On lui remet son Breast Fire irisé.

Quel noeud pap'!

Le grutier doit boire du petit lait à travailler là-dessus.

A l'arrivage. Vous avez vu en preview le début de cet arrivage ici, ici et encore ici. Voilà la suite. La boîte est très grande, 54 cm x 44 cm. Je ne sais même pas où la mettre...

Verso.

Enlevez la pelure de carton. Recto.

Verso.

Dessus, la petite poignée et les attaches.

On ouvre. Comptez le nombre de fois où le nom "Mazinger" est écrit dessus et gagnez un sachet d'eau en poudre!...

Ouverture.

On vire le dessus, dedans 5 boîtes noires.

La grande est pour le hangar, les trois autres pour le robot et la petite dernière, presque inutile mais finalement indispensable afin de caler le tout, pour mettre les notices.

On ouvre les trois boîtes verticales.

Si vous n'avez pas la zigoubite qui clignote avec tout ça...

Revêtement...

...le robot...

...les accessoires.

On vire le couvercle du robot.

Mmmmhhh...

Voyons le hangar.

Très entouré...

Safe sex...

Il reste un préservatif féminin...

Première ouverture, histoire d'aérer...

Passons au montage et premier tripotage. Comme vous le voyez, ils ne sont pas avares en papier. Voyons ça.

Une annonce! En mai sortira des accessoires pour votre Mazinger Z DX: un socle-tuteur, des poignets-rasoirs et la fameuse aile-volante (Jet Scrander). Je réponds de suite à votre question: NON! Je ne prendrai pas ce truc en supplément. Ce Mazinger est fait pour être à poil dans son hangar, tout ça va le gêner plus qu'autre chose.

Le livret.

Go Nagai s'amuse. J'ai pas regardé ce qu'il disait et mon jap est trop rouillé de toute façon.

Petit historique des jouets sortis avant ce DX.

Le hangar était déjà sorti avant, en carton, voir ici.

La notice du robot.

Inventaire.

Explénécheune.

Comment habiller votre robot...

Regardez bien à droite, l'explication pour fixer le bras de votre Mazinger. Ça semble simple. En fait, ça l'est mais le système est tout simplement nul. On y arrive.

Le détail de la télécommande.

Ça, c'est cadeau, un manga.

Les superbes dessins de Go Nagai... Un mec qui ne s'est jamais amélioré en 40 ans. Enfin on lui pardonne. Une copine l'a rencontré au Japon dans une soirée. Tiens, faudrait qu'elle témoigne ici de cette rencontre, je vais lui demander.

Premier montage.

Greffe du coeur.

Dévisser et mettre des piles, classique.

- We're charging our battery...

Pendant qu'on y est, mettons aussi des piles dans le hangar.

Je m'attendais à des piles classiques. Pas de bol, c'est encore des piles très fines. Je n'en avais plus, alors j'ai taxé celles de mon zombie remote control...

On appuie sur le bouton de la cafetière...

...et la lumière fut!

Ça flashe bien.

Dans la boîte des accessoires, je trouve la télécommande.

This one.

Encore des piles... J'ai pris celles d'une autre télécommande. Il faut 7 piles en tout pour ce Mazinger. Faites des stocks avant de l'acquérir...

Montons-le.

La ceinture Gibaud.

Le soutif.

Les jambières.

Les bottes, qui font très "sentinelles" des X-Men.

Ça commence à avoir de la gueule.

Merde, pour lui mettre les épaules, il faut retirer le soutif... On apprend de ses erreurs.

Je fixe les éléments sur les bras et en faisant ça, ils me tombent dans les mains! Bon, l'articulation au coude s'est détachée, c'est pas grave, ça arrive souvent quand on manipule un jouet comme ça. Alors je tente de la remettre. Mais je n'y arrive pas. Je pense à un bête système de fixation, on enfonce le truc et ça tient. Nan, pas là. Là, Bandai a choisi de la jouer "délicat". J'explique.

Vous voyez les trois ergots blancs sur le bras coupé là? Ils sont minuscules pas vrai? Vous allez me dire: "Non, c'est pas des encoches aussi petites qui vont tenir un bras aussi gros quand même?" Mais si!

Ça et un truc mécanique en forme de pointe qui entrera tout juste dans le bras en poussant sur le câble rouge sur le coude comme on a vu plus haut. Autant dire que ça ne tient pas bien, voire pas du tout! Et si ça tient, le moindre mouvement de bras, le détache. Le problème, c'est que pour le fixer, on est obligé de remonter le bras. Et une fois fixé, il faut le baisser, donc, c'est foutu. Et Bandai sait qu'ils ont fait une connerie avec ce système, la preuve avec cette notice explicative supplémentaire et EN ANGLAIS, montrant ainsi qu'ils tiennent à prévenir tout le monde qu'ils ont merdé.

J'adore cette notice, c'est vraiment: "Non mais c'est facile et ça tient bien, enfin, avec de la chance et si le plastique est bien neuf. Et si ça tient, surtout, ne le bougez pas!" T'as raison! Tout le petit monde des amateurs de Soul Of Chogôkin en parle sur le Net de ce fail absolu, en particulier les fans ricains qui sont assez remontés. Bandai a complètement foiré sur ce coup-là et, à 400€ le robot, c'est quasiment impardonnable. Ils ont voulu trop bien faire avec cette fixation mécanique chiadée alors qu'un truc plus rustique, mais solide, aurait parfaitement suffit.

Par chance, des parties à charnières des avant-bras sont livrées en plus, pour faire le Drill Missile, ce qui permet d'éviter de piquer une crise de nerfs. Sans ça, le robot partait directement dans les oubliettes des jouets ratés.

Ces parties à charnières sont solides et tiennent parfaitement. Vous pouvez bouger les bras comme vous le voulez.

Premier éclairage.

Installation de la plaque, en vrai métal doré.

Du collant double-face, faut faire gaffe.

Installation des grues.

Et voilà. Il est évident que si je payais mes jouets, jamais je n'aurais acheté ce truc. Je ne suis pas accro à ce point de Mazinger et 400€ pour ça, c'est beaucoup trop. Est-ce que cela les vaut? Je ne peux pas répondre à votre place. Le gros fan de Mazinger dira que oui. Mais je ne suis pas fan de Mazinger, et encore moins gros... C'est un très bel objet mais peut-être pas aussi parfait que le prix le laisse supposer. Cette histoire de fixation de bras est assez scandaleuse. Par chance, ça se corrige mais tout devrait être nickel, surtout à ce prix-là. En revanche, le robot "écorché", ses parties en die-cast, ses jambes et son hangar lumineux sont un régal. A vous de voir. Vous louchez dessus, vous avez le blé et vous aimez le père de tous les robots japonais? Alors foncez! On ne peut pas être déçu. Mais attention au simple caprice juste parce que c'est gros et beau. En général, quand on achète pour la forme, on le regrette assez vite. Et à ce prix-là, ça fait cher le regret. Maintenant, il ne reste plus qu'à attendre un DX 02, peut-être Goldorak. Imaginez un peu, avec sa soucoupe, un Alcorak géant, un bout du centre de Procyon...